Départ en train de Strasbourg jusqu'à Donaueschingen (source du Danube) via Offburg où je commence à parler anglais et à apprendre l'allemand.
traversée de la forêt noire, splendide !
Donaueschingen, belle petite ville construite sur un coteau, de grands parcs verdoyants malgré la sécheresse,
Je visite la ville comme je peux, je cherche vainement la source du Danube.
Après cette petite heure de visite et le déjeuner pique-nique pris dans un splendide parc je pars sir la Donauradweg pour quelques centaines de kilomètres.
Sur ces routes pour vélo on n'est jamais seul, c'est comme dans nos Semaines fédérales on double des vélos, on croise, on se fait doubler, on retrouve un peu plus loin ceux qui nous ont doublé .....
La plaine du Donau (Danube) est large et verdoyante. C'est une sensation de calme, de sérénité qui s'en dégage. C'est un endroit apaisant.
Rouler seul à vélo permet d'avoir des contacts avec la population locale,
Rencontre d'une cyclote, allemande bien sûr, échanges sur les échassiers qui se promènent dans les prairies, Ein Reuher, Störche (traduction : un héron, des cigognes) un peu d'anglais, les gestes et le traducteur du téléphone mobile permettent les discussions.
Peu de villes traversées : Geisingen, Möhringen puis Tuttlingen, sur 40 km ça fait peu ! 3 voitures, 2 tracteurs et beaucoup de vélos.
Un seul passage de 1 km environ en chemin blanc bien tassé et nivelé.
Quelques photos
En gare de Offburg, sur le quai parking à vélos (une petite partie)
Donaueschingen, le musée
Le Danube tout petit
confluent des deux rivières Brigach et Breg
L'église (non visitée fermée)
Town hall et la fontaine
la fontaine
Donau premier pont
Cigogne
Petite église de campagne à Zimmern
pont couvert spécial vélo
sous le pont une statue en bois sculpté
Façade d'un restaurant, le pignon est aussi somptueux
La perte du Danube
Dans le lit du Danube
A quelques dizaines de kilomètres le Danube réapparait
Un petit hôtel àTuttlingen, ce n'est pas celui que j'ai choisi !
Eglise moderne de Tuttlingen
Lycée ou collège
La rue principale
ma chambre dans un hôtel tout à fait "vieille France" mais très confortable
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Jean Louis est inquiet. Il a peur que tu nous ramènes un allemand. Bonne continuation. Bises
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